primavera 1778:

da una lettera al padre.


" Je suis jeune;
j'ai beaucoup de choses à apprendre, surtout dans un métier
où l'expérience est si nécessaire. Je voudrais pouvoir suivre
vos traces, mon cher père, et tàcher de me rendre utile à ma
patrie. La servir comme vous est tout ce que je désire.
(........ )

Si Mlle Leijel m'aime et si elle
continue de m'aimer, on pourra toujours renouer. Et je
crois que, dans quatre ou cinq, meme six ans, il sera temps de
s'en occuper sérieusement.
En attendant, je pourrai peut être faire quelque campagne.
Le père Leijel est vieux et maladif. S'il mourait, tout obstacle de sa part cesserait ;
tout son bien me viendrait tout de suite... "



http://www.madamedepompadour.com/_m_antonietta_fersen